Procédure de classement éclairage d’une installation

Afin de recevoir des rencontres en nocturne, une installation doit obligatoirement être classée par la CRTIS (Commission Régionale des Terrains et Installations Sportives). Le seul fait d’avoir un terrain éclairé ne leur permet pas de recevoir des rencontres en nocturne. Voici la procédure afin de faire classer votre installation pour l’éclairage.

 

Etape 1 : 

Télécharger la demande d’avis préalable d’un éclairage sur le site de la FFF ou bien en suivant les liens suivants : 

https://media.fff.fr/uploads/document/d6ad704c6c3ba152272b51f1960d9d46.pdf pour les classer de E7 à E4*.

https://media.fff.fr/uploads/document/077b7660b21006786ea3b23378007f93.pdf pour les classer de E3 à E1*.

*Un classement E7 peut recevoir une rencontre de niveau District. Un éclairage E1 équivaut à un éclairage Ligue 1.

 

Etape 2 : 

Remplir le dossier en joignant les documents demandés puis l’envoyer à la CRTIS à l’adresse suivante : terrains@occitanie.fff.fr

 

Etape 3 : 

Un membre de la Commission vous appellera donc par la suite afin de prendre rendez-vous pour classer l’éclairage de l’Installation.

 

Etape 4 : 

Lors du rendez-vous, vous devrez être muni de la demande de classement fédéral éclairage (avec tampon de la mairie et signature du propriétaire) : 

Cliquez ici pour les classer E7 à E4.

https://media.fff.fr/uploads/document/5bc2901603bfdde62f6f08061e47ded8.pdf pour les classe E3 à E1

 

Faire classer l’éclairage de son installation est plus qu’important afin de recevoir des rencontres en retard en semaine et éviter l’inversion des rencontres ou même la perte par forfait en Coupe par exemple (Art. 8 de l’Annexe 3 des RG du District).

 

Documents pratiques :

 

 

 

Pour toutes questions, vous pouvez contacter notre référent départemental à la CRTIS : sauveur.romagnole@orange.fr en laissant vos coordonnées.

Rien n’arrête Le Grau-du-Roi

Quatre matches, quatre victoires et la première place de la poule A de Régional 1 : Le Grau-du-Roi a pris un départ canon en championnat et laisse à personne le soin de faire la course en tête en ce début de saison. Une manière de montrer qu’il y a pour l’heure un patron dans cette épreuve et qu’il s’agit bien du club maritime.

Après avoir battu Lunel, Canet et Saint-Estève-Perpignan, les Graulens ont frappé un grand coup, ce dimanche 20 octobre en allant gagner le derby à Vauvert (2-4).
Ces derniers temps, le club présidé par Grégory Mézy avait pris l’habitude de monter chaque saison. Il a fait une entorse à la règle la saison dernière comme pour souffler un peu et prendre ses marques dans l’élite des championnats régionaux. Mais à ce rythme, il pourrait renouer avec ses bonnes habitudes même si la route est longue et que vingt- deux journées restent à disputer. Il jouera d’ailleurs la prochaine le samedi 2 novembre à la maison face à Mende. Pas d’emballement toutefois chez le président. « Quand je démarre une compétition, c’est toujours pour la gagner. Mais l’objectif n’est pas la montée. Même si on finit premier, on n’en est pas assuré puisqu’il y a aura un barrage contre le premier de la poule B. La saison dernière, on avait fini quatrième. Là, on espère faire mieux »dit Grégory Mézy qui, à l’intersaison, a fait le pari de confier son équipe à un duo certes talentueux mais inexpérimenté. Il est composé de Morgan Marion et Sébastien Peredes. La saison dernière, le premier nommé était l’entraîneur de Vergèze en R3. « Ça va sans doute donner raison à ceux qui disent que le président du Grau-du-Roi est un peu fou, mais je le sentais comme ça », dit le président qui a par ailleurs

recruté dix joueurs pour combler les dix départs de l’intersaison. Grégory Mézy loue les qualités morales de son groupe : « A Vauvert, par exemple, on mène 2-0, Vauvert revient à deux partout et on gagne 4-2. La saison dernière, c’est le genre de matches que l’on n’aurait sans doute pas gagné. C’est la preuve que l’équipe ne lâche rien et qu’elle est capable d’aller chercher cette réussite dont on n’a pas manqué depuis le début de la saison. Huit victoires en huit matchs dans deux compétitions, c’est tout sauf du hasard. On n’est peut-être pas les mieux armés sur le papier, mais l’équipe a quelque chose. En tout cas, je suis content du travail fait. C’est prometteur. »
Rien n’arrête donc le Grau-du-Roi en championnat. Rien n’arrête Le Grau-du-Roi en coupe de France, pas même les tirs au but qui lui ont été favorables à deux reprises lors des quatre tours qu’il a déjà joués. Après une entrée en matière sans concession à Bagnols-Escanaux (2-7), les tirs au but, donc, lui ont sorti au deuxième tour à la maison face à Montpellier Atlas Paillade puis au tour suivant face à Fabrègues, après quoi les Gardois sont allés s’imposer à Perpignan.
Les voilà donc en lice au 6e tour. A cette occasion, le week- end prochain, ils recevront Béziers, pensionnaire également de Régional 1 et qui occupe la onzième place dans la poule que domine Le Grau-du-Roi. « Faire un parcours en coupe, c’est aussi un de nos objectifs, dit encore le président. Être au sixième tour est déjà un beau parcours mais en jouant ce tour à la maison, ce qui nous est arrivé qu’une seule fois en quatre matches déjà joués dans cette épreuve, on se dit qu’il y a une opportunité de faire plus encore. »

Pour Aimargues, la Coupe était une parenthèse enchantée

« On a perdu mais tout va bien. » Francis Lamazère est un président heureux. Pour le compte du cinquième tour de la coupe de France, son équipe d’Aimargues (R2) a perdu (4-1) contre Nîmes Olympique (National) qui faisait son entrée en lice. Mais elle a été digne de l’affiche. « A la mi-temps, on était à égalité. Après un quart d’heure de jeu en seconde période, on était encore à la hauteur des Nîmois. La différence de niveau s’est logiquement faite dans la dernière demi-heure », dit encore le président de ce club de 400 licenciés.

Francis Lamazère a apprécié la vaillance de ses joueurs, leur sérieux durant 90 minutes. Les Aimarguois ont été bons pendant le match. Ils ont été excellents la semaine précédente en faisant le buzz sur les réseaux sociaux en parodiant, dans une vidéo vue près de 300 000 fois, l’arrivée des joueurs de l’équipe de France à Clairefontaine. C’est devenu une habitude qu’on aime ou qu’on n’aime pas, mais les Bleus arrivent désormais à leur rassemblement dans une mise en scène digne des défilés de mode. Alors les hommes de Mickaël Métais ont décidé, avant ce match de coupe, de mettre en scène, de manière humoristique, leur arrivée à l’entraînement.

La coupe de France était une parenthèse pour Aimargues qui en a pleinement profité dans la joie et la bonne humeur. Et maintenant, retour à la réalité du championnat de R2 que le club a retrouvé après avoir fait un passage éclair en R1 la saison dernière. 

La saison a été une vraie galère. Le président en convient :  « On a perdu des joueurs qui étaient courtisés. On a eu aussi des joueurs majeurs de notre effectif longtemps blessés. » Dans de telles circonstances, même la saison d’après aurait pu être compliquée. Mais à en juger par les résultats obtenus, c’est tout le contraire.

Après trois journées, Aimargues est coleader avec Nîmes Chemin bas d’Avignon. Son bilan : deux victoires et un nul, neuf buts inscrits et cinq concédés. La clé de la réussite ? La volonté des dirigeants de ne rien révolutionner. « On a fait confiance à notre entraîneur et quelques joueurs qui étaient partis sont revenus au bercail. D’autres ont fait le choix de rester avec nous malgré la relégation », se félicite le président. 

De là à claironner que le retour en R1 est un objectif ? Pas si vite pour le président. « Si c’est pour revivre la saison prochaine ce qu’on a vécu la saison dernière, je ne vois pas l’intérêt. Je préfère voir l’équipe prendre du plaisir en R2 même sans monter plutôt que d’enchaîner les défaites en R1. Ça peut paraître modeste, mais allons d’abord chercher le maintien », ajoute Francis Lamazère dont l’équipe recevra Alès, dimanche 20 octobre pour le compte de la quatrième journée avec l’espoir d’enchaîner.

INFORMATIONS FESTIVAL PITCH

Comme indiqué hier, nous connaissons des problèmes informatiques sur le logiciel FAL qui rendent compliqué la visibilité du FESTIVAL PITCH.

Nous vous confirmons que le 1er tour a bien lieu ce samedi 19 Octobre.

 

VOIR LA PROGRAMMATION DANS LE MODULE FAL DE VOTRE FOOTCLUB :

 

Vous pouvez le voir dans Foot Club > Foot Animation et loisirs > Détails. Il vous faut ensuite régler la date du 15 septembre au 19 octobre pour que votre programme apparaisse et que vous puissiez voir où vous jouez.

Le 1er club de chaque poule est le club recevant.

 

 

PROGRAMME :

 

9h30 : Début des tests Jonglerie

10h30 : Début des Rencontres

 

 

RETOUR DES DOCUMENTS (FEUILLE PLATEAU ET FEUILLES DE JONGLERIE) :

 

L’envoi des documents se fera par mail sur l’adresse lucas.lescure@gard-lozere.fff.fr

Au total, il faut envoyer la feuille de plateau + 3 feuilles jonglerie (1 par équipe). Le club recevant est chargé de la récupération et de l’envoi de l’ensemble des documents.

 

Merci d’envoyer vos documents au format PDF ou JPEG numérisés en bonne et due forme en indiquant le n° de votre Plateau. NOUS NE PRENDRONS AUCUNE PHOTO DANS LE CORPS DU MAIL.

 

Retrouvez les poules en cliquant ICI 

Demande d’autorisation de tournoi

Chaque club à la possibilité d’organiser un tournoi. Pour se faire, quelques règles à respecter et un document à remplir. Ces tournois, à l’initiative des clubs, doivent toutefois être validés par le District Gard-Lozère. Document ci-après :DEMANDE AUORISATION TOURNOI

A retenir, vous devez :

Déposer au moins trente jours avant la manifestation la sollicitation pour l’organisation auprès des services du District. Vous comprendrez toutefois qu’il est souhaitable de connaître au plus tôt vos souhaits afin d’homologuer le tournoi concerné ou, à défaut, vous demander des informations complémentaires. Pour gagner en efficience nous vous proposons donc de nous transmettre vos demandes pour les tournois se déroulant avant le 31 décembre, dès le mois de septembre, et pour les tournois se déroulant avant le 30 juin, dès le mois de janvier.

Joindre le règlement du tournoi.

S’assurer de la validation du tournoi auprès des services du District sur la page dédiée.

Anduze coupe à coeur 

Les tours de coupe de France se suivent et se ressemblent pour le Sporting club anduzien. Après une entrée en matière victorieuse à Redessan (2-4), les Cévenols n’ont cessé de jouer à la maison. Ce dimanche 13 octobre (coup d’envoi à 15 heures), pour le compte du cinquième tour, c’est encore au stade du Langlas qu’ils auront la chance de jouer face aux Toulousains du FC Rodéo, pensionnaire de R1, comme Lunel récemment sorti. « On a plutôt été gâtés par le tirage au sort », admet Bernard Maurand. 

Après la victoire initiale à Redessan, son équipe, non contente de jouer chez elle, a affronté en plus des adversaires hiérarchiquement inférieurs, des pensionnaires de D1, en l’occurrence Bessèges (2-1) puis La Grand Combe (1-0). Son premier exploit de la saison, l’équipe entraînée par l’ancien attaquant brésilien d’Alès et Nîmes, Rogerio Moreira, l’a donc réalisé au quatrième tour en battant Lunel (3-1) qui évolue deux divisions plus haut, en R1. « C’était une belle équipe de Lunel qui nous était certes supérieure dans le jeu. Mais on a été solides défensivement et on a su être efficaces aussi », se félicite Maurand. 

Il est prédisent depuis près d’une douzaine d’années. Et des souvenirs en coupe, il en a quelques-uns. Il se souvient notamment d’exploits réalisés contre Montferrier et l’équipe première d’Alès. « Mais quelques jours après, on avait perdu en championnat contre les réserves de ces deux équipes », raconte-t-il. Il se souvient surtout de l’édition 2017-2018. Alors entraînés par Stéphane Saurat, les Anduziens avaient atteint le huitième tour, alors éliminés par Nîmes Olympique (3-1). C’est la plus belle performance réalisée par ce club de 250 licenciés. Encore trois victoires, et il l’égalera. Il peut s’en rapprocher s’il réédite face aux Toulousains l’exploit de Lunel.

Reste qu’Anduze, qui a chuté à Fourques aux tirs au but en coupe de la Région, quelques jours seulement après son exploit face à Lunel, « lors d’un match où on avait passablement fait tourner l’effectif », n’oublie pas que l’essentiel de la saison sera le championnat de R3 dans lequel il est redescendu il y a déjà quelques saisons. 

« L’idée, dit le président Maurand, ce serait d’y retourner mais on n’est pas les seuls à avoir cet objectif. En tout cas, question recrutement, on a fait ce qu’il fallait. »

A l’intersaison, Anduze a comblé ses manques et densifié son effectif. « La saison dernière, on avait juste le nombre. Cette saison, assure le président, on a un groupe de qualité, une bonne vingtaine de joueurs parfaitement interchangeable. » 

Mais si Anduze coupe à coeur, il n’a pas la même réussite en championnat et alterne le bon et le moins bon d’une compétition à une autre.  Après trois journées, l’équipe occupe la huitième place de la poule A de Régionale 3.  Elle avait bien attaqué l’exercice avec une nette victoire à la maison face à Chusclan-Laudun (4-2). Mais elle n’a pas su profiter d’un deuxième match de suite à la maison en s’inclinant face à Saint-Jean-de-Védas (0-1). Et elle s’est lourdement inclinée ce dimanche à Beaucaire (4-2). Il est temps de mettre dans cette compétition les ingrédients de la coupe.

L’Assemblée Générale Ordinaire d’hiver 2024-2025

L’Assemblée Générale Ordinaire d’hiver de la saison 2024-2025 aura lieu le Samedi 23 Novembre 2024 en matinée, dans les salons de l’hôtel C-Suites à Nîmes.

Conformément aux statuts et dispositions réglementaires, pour réponse aux obligations de communication de l’ordre du jour qui sera établi lors d’une prochaine réunion du Comité de Direction, les clubs peuvent présenter des questions écrites ou des projets de modifications aux règlements au plus tard 16 octobre 2024 dernier délai.

Nîmes Foot Féminin

Nîmes Foot Féminin veut croire au maintien

 

« Enfin une bonne nouvelle !» L’heure était à la satisfaction et au soulagement, ce dimanche 29 septembre, pour Laurent Pouget et son équipe fanion du Nîmes foot féminin. Sur la pelouse du stade Jean-Bouin à Nîmes, pour le compte de la troisième journée de Division 3, les Nîmoises ont battu Monaco lors du choc des mal classées (3-1). C’est le premier succès de la saison pour les Gardoises qui avaient totalement manqué leurs débuts en s’inclinant nettement à la maison face à Chassieu (0-5) et qui s’étaient inclinées de peu, dans la foulée, lors du derby à Montpellier (1-0). « Autant il n’y avait rien à dire pour la première défaite ; autant face à Montpellier, on aurait mérité de revenir avec le nul », poursuit Laurent Pouget dont c’est la deuxième saison en tant que président. Il a succédé à l’emblématique Christian Tavez qui, après tant d’années de bons et loyaux services, a estimé qu’il était temps de dire stop. Deux ans de présidence mais sept ans de présence au club pour cet artisan de Vauvert qui a découvert ce club en accompagnant sa fille et qui a jugé utile de s’investir. 

C’est aussi la deuxième saison en D3 pour les Nîmoises entraînées par Olivier Bonne, l’ancien pro qui, à l’intersaison, a procédé à un large renouvellement de l’effectif avec seize arrivées. « Il a fait du sacré bon boulot à l’intersaison. Parce que recruter des joueuses sans pouvoir leur proposer grand-chose à côté, ce n’est pas évident », souligne le président Pouget. Nîmes foot féminin a également engagé une équipe réserve à onze qui participe au championnat de Régional 2.

Reste que le quotidien n’est pas simple pour ce club d’une vingtaine d’années qui jongle avec plusieurs terrains pour les entraînements et qui dispute désormais ses matches officiels au stade Jean-Bouin. Laurent Pouget ne s’en cache pas : « C’est vraiment compliqué de trouver des partenaires financiers, boucler des budgets. On a la désagréable impression qu’on ne manifeste pour nous pas beaucoup d’intérêts. C’est plus facile pour des clubs masculins de trouver des financements que pour les clubs féminins. J’ai déjà entendu dire qu’on manquait de visibilité. C’est parfois franchement usant. »

Mais contre mauvaise fortune, NFF fait bon coeur. Lorsque l’on demande au président quel est le projet du club à court terme, il répond du tac au tac : « C’est celui de s’accrocher. On galère pour boucler le budget. Mais il n’est pas concevable de lâcher. L’idéal serait que quelqu’un arrive avec la volonté d’investir dans le foot féminin. Ou alors de se rapprocher un jour de Nîmes Olympique. » 

Pas sûr toutefois qu’une section féminine soit la préoccupation première du patron des Crocos.

En attendant, les Nîmoises vont se battre dans ce championnat à l’issue duquel deux équipes seront reléguées. Et si avec ce succès, la saison était enfin lancée ? A confirmer le week-end prochain à Cannes. 

 

L’équipe fanion de Nîmes foot féminin, ce dimanche 29 septembre au stade Jean-Bouin, à l’occasion de son premier succès de la saison face à Monaco.

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