Alès a lancé sa saison

L’été a été fait de rebondissements, du côté d’Alès. Longtemps, le club cévenol a cru pourvoir repartir en National 2 par la grâce d’un repêchage. Mais c’est finalement à quelques jours de la première journée qu’il a appris qu’il jouerait bel et bien en National 3. Les quatre victoires lors des cinq dernières journées avaient allumé une petite lueur d’espoir avec cette dixième place finale. « Mais je n’oublie pas non plus qu’on a connu aussi une série de quinze matches sans victoire », rappelle Jean-Marie Pasqualetti, le directeur sportif.

C’est donc dans des conditions un peu particulières que l’OAC a tourné une page, vu partir une vingtaine de joueurs et recruté dix-sept nouveaux, dont Nicolas Benezet, l’ancien pro passé par Nîmes et qui totalise près de 300 matches en Ligue 1 et Ligue 2.  Confiance a été maintenue à Hakim Malek. A charge pour lui de guider l’équipe cévenole à nouveau vers le National 2.

C’est l’objectif qui a été affiché le jeudi 19 septembre, au centre Jean-Sadoul, lors d’une soirée durant laquelle le groupe a été présenté aux élus et aux partenaires. Un objectif affiché par Philippe Mallaroni, le manager général ; par Didier Bilange, le président, et même Christophe Rivenq. Le premier adjoint au maire et président d’Alès agglomération voit grand pour le club en lui promettant un avenir en National.

Chaque chose en son temps. Pour l’heure, il est question d’un retour en N2. Après des débuts compliqués, ponctués de deux défaites (3-2) à Marseille face à Euga Ardziv puis à la maison face à Agde (1-2), Lucas Franco et ses partenaires ont redressé la barre. Ils ont signé leur premier succès de la saison en championnat en Corse, sur le terrain de Corte (2-3) et enchaîné à Pibarot, toujours face à des Corses, en l’occurrence Lucciana (2-0) qui était leader avant cette quatrième journée.

« Il faut trouver encore quelques automatismes, mais le groupe est sérieux et investi », souligne Jean-Marie Pasqualetti. « Parfois on tombe, mais on s’en relèvera », dit de son côté Philippe Mallaroni alors que le président Bilange maintient « que la réussite, c’est essayer une fois de plus que l’échec ».

Après quatre journées, voilà donc les Cévenols à la huitième place, certes, mais à deux points seulement du Cannet-Rocheville, le nouveau leader alors que la prochaine journée, le dimanche 6 octobre, sera marquée par un premier derby gardois à Aigues-Mortes. Saliniers et Cévenols ne sont décidément pas prêts de se quitter puisque ce dimanche 29 septembre, c’est pour le compte du troisième tour de la coupe de France qu’ils s’affronteront au stade du Bourgidou pour leur entrée en lice dans la compétition. 

Rencontre avec Fernand D’Anna, le nouveau président du District Gard-Lozère

Le 8 juillet dernier, le District Gard-Lozère a tourné une page importante de son histoire. Après 40 ans de présidence, Francis Anjolras a quitté son poste avec des souvenirs plein la tête et le coeur et la satisfaction du travail accompli.

A une très large majorité, c’est Fernand D’Anna qui lui a succédé. La succession était préparée depuis de nombreux mois, période durant laquelle, quasi quotidiennement, le nouveau président a vécu une formation accélérée dans le bureau présidentiel qui est aujourd’hui le sien. « On a beaucoup travaillé ensemble. Il m’a formé, j’ai écouté », dit celui qui est à la tête de quelque 26 000 licenciés.

Fernand D’Anna est âgé de 67 ans. Jusqu’à sa retraite en 2021 et durant quarante-cinq ans, il a été directeur d’une société de construction. Son histoire avec le ballon rond a débuté comme joueur, dans le très relevé et populaire championnat de Nîmes Ville, d’abord dans le club de La Jeune France puis dans celui du Sporting club des Quatre saisons. « En 1988, j’ai été le président des Quatre saisons jusqu’en 2006. Après, j’ai été président pendant cinq saisons de l’Enigme sportive de Saint-Geniès-de-Malgoires », raconte-t-il. 

C’est en 2011 que Fernand D’Anna quitté le football de club pour entrer au District Gard-Lozère. « C’est Emile Rigal qui m’a suggéré de venir au district. Il m’a dit qu’il y avait besoin de monde. Alors j’ai siégé à la commission de discipline comme membre puis comme président à la suite de Rubens Euzéby », se souvient-il. Au district, il a également été élu au comité directeur en 2016 et vice-président délégué en 2021. 

Ses premiers mois de président, Fernand D’Anna les a passés à connaître dans le moindre détail le fonctionnement du district et du personnel qui le compose. « J’observe les points sensibles pour les améliorer », dit-il, annonçant par ailleurs son intention, avec un comité directeur renouvelé et féminisé, de mettre en place des groupes de travail. Son crédo : « Je veux des membres impliqués. » 

Parmi ses priorités figure notamment le foot féminin qui, dans le département du Gard, n’a pas encore de championnat à onze : « C’est une priorité du district mais c’est aussi une priorité dans toute la France. La commission a besoin d’être élargie pour que le foot féminin se développe plus encore. » Au niveau de la discipline, un secteur qui lui tient à coeur, il assure que « le district continuera d’être intransigeant dans les sanctions ». Prônant « un travail collectif dans toutes les commissions », il annonce aussi que « celle des arbitres sera renforcée par quelques nouveaux ».

Si le bail de son prédécesseur s’était étiré dans le temps, Fernand  D’Anna dit qu’il sera l’homme d’un mandat de quatre ans voire deux selon l’envie. Il conclut : « Je vais avoir le temps d’apporter ma patte personnelle et de préparer aussi ma succession. » 

 

Match de gala en vue pour le FC Cabassut

Une première réussie. Pour le compte de la première journée du championnat de Départemental 1, le FC Cabassut s’est imposé. Sur son terrain d’Aigues-Vives, il a battu Les Saintes-Maries de la Mer (3-2). Une bonne chose de faite pour Jean-Marie Hénin. « Mais on a quand même été un peu maladroit », dit-il.

Il est le président de ce club né en 2020 de la fusion entre Aigues-Vives, Gallargues-le-Montueux et Aubais. C’est sa troisième saison dans l’élite des championnats du Gard-Lozère. La saison dernière, il avait pris la septième place. « Cette année, on aimerait finir dans les quatre premiers », prévient le président. Une manière de dire qu’on a une petite idée derrière la tête ? « Non, répond Jean-Marie Hénin dans un grand sourire. On ne sait pas trop précisément comment ont recruté toutes les équipes de cette D1. On sait aussi que certaines seront costaudes. Le niveau de cette compétition est bon. Il n’y a pas d’équipes en bois. On attendra donc quelques matches avant de voir quel rôle on peut jouer. » 

D’ailleurs, le prochain match à Moussac, chez un promu auteur d’une énorme saison 2023-2024 en championnat de D2 comme en coupe Gard-Lozère, aura valeur de test pour l’équipe de Geoffrey Garcia. Il est le nouvel entraîneur. Il est arrivé de l’US du Trèfle d’où sont aussi arrivés, à l’intersaison, quelques joueurs de retour au FC Cabassut. « Le groupe est de qualité. En dehors, c’est aussi une bonne bande de copains », dit encore le président d’un club qui compte pour l’heure deux cents licenciés. « On est en pleine période de renouvellement. On devrait atteindre les trois cents licenciés comme la saison dernière. On a très bien structuré le club avec des éducateurs diplômés. Tout le monde est attaché au club », ajoute Jean-Marie Hénin.

Dimanche 15 septembre, pas de championnat pour le FC Cabassut mais un match de gala pour le compte du troisième tour de la coupe de France. Dans cette épreuve, l’équipe a déjà inscrit huit buts en deux matchs et n’en a concédé qu’un seul, sortant successivement Nîmes Mas de Mingue (1-4) et Saint-Laurent-des-Arbres (0-4). Ce sera son premier match dans cette épreuve à domicile et ce ne sera pas de trop face à Beaucaire, pensionnaire de National 3 qui fera son entrée en lice. Quatre divisions séparent les deux équipes. « Je suis content de ce tirage. C’est le genre de match que j’espérais », dit le président du FCC qui conclut avec une pointe d’humour :« Vu qu’on ne va certainement pas gagner cette coupe, autant recevoir une grosse équipe comme Beaucaire plutôt que d’aller je ne sais où… » 

Légende de la photo : Ce dimanche, le FC Cabassut a réussi ses débuts en championnat en battant Les Saintes-Maries de la Mer. Dimanche 15 septembre, place à la coupe et la réception de Beaucaire.

Revoilà les Cheminots nîmois

Ces dix dernières années, les expériences des Cheminots nîmois en championnat seniors n’ont pas toujours été des réussites. Mais cette saison 2024-2025 pourrait être le point de départ d’une nouvelle aventure que Gérard Heimburger espère belle. « En tout cas, dit le président, ça part sur de bonnes bases. »

A la Libération, lorsque le foot amateur avait été relancé, les Cheminots, club formateur de Maurice Lafont (international et troisième de la coupe du monde 1958 avec l’équipe de France) et Christian Dalger, avaient été pensionnaires de la division d’honneur. Ils sont restés cinq saisons à ce niveau. A la création de la ligue Languedoc-Roussillon, ils ont aussi joué une saison, entre 1980 et 1981 en division d’honneur régionale. Ils ont également fait des passages dans le championnat de PHA, l’élite des compétitions du Gard- Lozère, le dernier lors de la saison 1988-89.

Deux ans après une expérience infructueuse, voilà donc le CSCN qui relance une équipe seniors. « En fin de saison dernière, des jeunes joueurs qui ont jadis fréquenté le club sont venus me voir pour me dire qu’ils voulaient repartir en seniors. On avait été échaudé par le forfait général qu’on a dû faire il y a deux ans et j’étais méfiant », ajoute Gérard Heimburger. Cet ancien cheminot à la retraite a rejoint le club en 2004 comme éducateur après avoir créé quelques années plus tôt l’école de foot de Poulx. Il est président du CSCN depuis 2017, un club qui, la saison dernière, comptait 135 licenciés. Il s’est finalement laissé convaincre par la proposition qui lui a été faite. « Dans le groupe d’une vingtaine de joueurs, il y en a qui ont joué chez nous en jeunes. Ils ont aussi fait venir leurs copains. Certains ont déjà joué à des niveaux bien supérieurs, ça se voit lors des entraînements. Il y en a qui ont vraiment du ballon », dit encore le président qui assure : « On va avoir une belle équipe. On lui a préparé un terrain qu’on a refait, un nouvel éclairage. Toutes les planètes sont alignées. »

Le retour officiel des Cheminots nîmois dans les compétitions seniors aura lieu ce dimanche 8 septembre. C’est à la maison, au stade SNCF Jean-Michel, théâtre de la grande histoire du club, qu’il se fera à l’occasion d’un match face à Manduel comptant pour la première journée du championnat de Départemental 4, poule D.
C’est au plus bas de la hiérarchie que les Cheminots repartent. Mais le président prévient : « L’objectif, c’est de monter en D3. On a aussi un autre objectif, c’est de trouver des dirigeants. » Le message est passé.

Assemblée Générale du District Gard-Lozère

Nous avons l’honneur de vous convier à l’Assemblée Générale du District Gard-Lozère qui aura lieu le Samedi 06 Juillet 2024 à 09h30 à :

 

Hôtel CSuites

Parc Hôtelier Ville Active

152 Rue Claude Nicolas Ledoux

30900 Nîmes

 

 

A ce titre, veuillez trouver les éléments nécessaires à votre information :

 

  • La convocation
  • L’ordre du jour
  • Le formulaire à remplir (pouvoir en cas d’absence)
  • Le Budget prévisionnel
  • La liste pour la délégation aux Assemblées de Ligue
  • Le Projet de Modifications des Textes
  • Le Compte Rendu Moral et Sportif
  • La liste des candidats à l’Election du Comité Directeur
  • Modifications des Statuts type

 

IMPORTANT :

 

 

  • L’accès à la salle de réunion se fait à partir de 08:30 et l’Assemblée Générale démarrera à 09:30
  • Le Président du club ou le membre du club présent devra être muni d’une pièce d’identité en cours de validité afin de pouvoir prendre part au vote.
  • Un Président de club ou son représentant ne devra pas être en état de suspension. Une vérification sera faite.

 

Ordre Du Jour

Modification des textes

Election du Comité De Direction

Election de la Délégation aux Assemblées de Ligue

Convocation et Pouvoir

Compte Rendu Moral et Sportif

Budget Prévisionnel 2024-2025

A Nîmes, un stade en hommage à Jean-Pierre Adams

La Ville de Nîmes a souhaité rendre hommage à Jean-Pierre Adams. Elle a donné au stade de foot du  complexe de Saint-Césaire le nom de cet ancien joueur de Nîmes Olympique et de l’équipe de France, décédé en septembre 2021. La cérémonie officielle a eu lieu ce mercredi 29 mai, en présence de Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes et d’élus, de Bernadette Adams, sa veuve, venue avec son fils Frédéric et sa famille ; en présence aussi d’illustres joueurs de Nîmes Olympique comme Michel Mézy, Henri Augé, André Kabile, Daniel Sanlaville, Attilio Moretti ou encore de Francis Anjolras, le président du district Gard-Lozère. 

Bernadette Adams a fait part de son émotion et de sa gratitude. Le maire de Nîmes a rendu hommage à Jean-Pierre Adams qu’il allait voir jouer au stade Jean-Bouin :« Il était un modèle de détermination, de courage et de talent. On s’engage à perpétuer sa mémoire. »

Repéré par Kader Firoud, Jean-Pierre Adams, né à Dakar et arrivé en France à l’âge de 15 ans dans une famille adoptive dans le Loiret, a joué trois saisons à Nîmes Olympique, de 1971 à 1973. Façonné par l’entraîneur emblématique des Crocos, c’est lors de son passage dans le Gard qu’il a connu ses premières sélections en équipe de France, formant alors avec Marius Trésor la célèbre garde noire. Jean-Pierre Adams a aussi joué à Nice, Paris et terminé sa carrière professionnelle à Mulhouse. 

Jean-Pierre Adams, c’est aussi un destin tragique et près de quarante ans d’une vie dans un monde parallèle veillé par son épouse, ses enfants et petits-enfants.

En 1982, alors qu’il encadre les jeunes de Chalon-sur-Saône, où la famille s’est établie et où il exploite un magasin d’articles de sport avec son épouse Bernadette, une succession d’erreurs médicales et de négligences ont privé son cerveau d’oxygène et créé des lésions irréversibles lors d’une banale intervention chirurgicale à un genou pratiquée à Lyon. C’était le 17 mars 1982.

Depuis ce jour et jusqu’au 6 septembre 2021, date de son décès à Nîmes à l’âge de 73 ans, Jean-Pierre Adams a vécu dans un état végétatif. Son épouse a accepté que son mari soit dans un centre de rééducation durant un an. Un an seulement avant de décider de s’occuper personnellement de lui à la maison. « C’est comme ça que vous vous débarrassez des gens qui vous gênent ? », avait lancé Bernadette Adams au personnel du centre où son mari était en soins.

Dans sa maison de Caissargues dans le Gard, où elle s’était établie, Bernadette a veillé sur son mari tous les jours, aidée dans sa tâche, cinq jours par semaine, par une aide-soignante et son kiné. Jean-Pierre Adams vivait dans une pièce spécialement aménagée de la maison. Bernadette lui donnait à manger, le coiffait, le rasait, lui allumait aussi la télé les soirs de matchs. « Je lui parle beaucoup. Il ne me voit pas mais je sais qu’il m’entend. Il sursaute d’ailleurs au moindre bruit. Son visage change parfois en fonction de son humeur. Il est sensible aux odeurs, comme celle de mon parfum. Le mercredi, j’ai mes deux autres petits-enfants qui habitent tout près d’ici. Mila, la plus jeune, joue à côté de lui, l’attrape par le cou pour le câliner », avait-elle confié à Midi Libre, dans un article paru en mars 2018 lors des 70 ans de son mari.

Jean-Pierre Adams est donc décédé le 6 septembre 2021 au CHU de Nîmes où il avait été admis la veille. Après Coquilleroy, dans le Loiret, Thionville (Moselle), Catillon-sur-Sambre (Nord), Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) et Goncourt (Haute-Marne), Nîmes est la sixième ville de France à donner à un équipement sportif le nom de Jean-Pierre Adams. 

Légendes des photos 

Le président du district Gard-Lozère Francis Anjolras en compagnie de Michel Mézy, Henri Augé et Daniel Sanlaville.

Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes, aux côtés de Bernadette Adams et de Frédéric, un de ses deux fils.

Nicolas Rainville a sifflé la fin de sa carrière

Quelle semaine entre le 13 et 19 mai pour Nicolas Rainville qui a vécu toute sorte d’émotions ! Le lundi, il était à Paris pour recevoir le trophée de meilleur arbitre de Ligue 2 lors de la soirée de l’Union nationale des footballeurs professionnels. Vendredi, lors du match entre Auxerre et Concarneau, sacrant les Bourguignons champions de France lors de la dernière journée de Ligue 2, il dirigeait pour la toute dernière fois un match professionnel. 

La carrière du Nîmois sur les terrains professionnels s’est étirée du 27 juillet 2007 au 17 mai 2024. De la Ligue 2, de la Ligue 1, des finales de coupe dont un Evian-Thonon – Bordeaux en 2013 pour sa première finale de coupe de France, des compétitions internationales jeunes et des matches de Ligue des champions en tant d’arbitre additionnel, quatrième arbitre et arbitre vidéo, l’expérience a été longue et enrichissante.

A l’heure de fermer le livre, Nicolas Rainville préfère retenir le côté humain de son aventure. « Un match, dit-il, ne dure que 90 minutes. Mais on part la veille et on rentre le lendemain. Il y a donc des rencontres, des tranches de vie très humaines, des moments de convivialité. »

Touché d’avoir été désigné meilleur arbitre par ses pairs, le Nîmois l’a aussi été cette saison par les marques de sympathie témoignées au gré de ses déplacements :« Tous les clubs m’ont dit qu’ils m’accueilleraient avec plaisir si j’avais l’occasion de revenir. »

Ces dernières semaines, Nicolas Rainville a savouré chaque instant, parfois même en famille. « Durant toutes ces années, il y en a qui n’ont fait que le regarder à la télé, m’ont attendu à la maison », dit-il en pensant à son épouse, ses deux enfants, ses parents et son frère.

A Saint-Etienne, à Ajaccio et à Auxerre pour sa der, il a eu la chance de rentrer sur le terrain en compagnie de Louis, son fils de 8 ans. A Auxerre, parce que cette dernière était aussi une fête, c’est sa famille et ses amis qui l’ont accompagné pour ne rien manquer de cette despedida comme on dit dans l’arène quand un torero quitte la piste. 

Nicolas Rainville quitte la piste, range le sifflet et les cartons mais il ne sera jamais très loin de l’arbitrage. C’est en tant qu’arbitre vidéo qu’il va donner une autre orientation à sa carrière. Il ne lui déplairait pas non plus d’accompagner les jeunes arbitres dans un rôle de grand frère. Au district, il est toujours conseiller technique en arbitrage,  il est également adjoint aux sports à la ville de Nîmes. Plus de match à diriger mais des arbitrages à faire parfois dans certains dossiers et un agenda toujours aussi bien rempli. 

Nicolas Rainville et son fils Louis

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